Le SIT est actif dans les secteurs de la vente et de l’alimentation à Genève. Il défend au quotidien les vendeuses et vendeurs ; négocie les conventions collectives de la vente à Genève et lutte contre la précarisation et la flexibilisation de ce secteur économique.
Le personnel de vente est confronté à des exigences toujours plus fortes de la part des employeurs. Ces derniers augmentent sans cesse le rythme de travail, exigent toujours plus de disponibilité de la part de leurs salarié-es et compriment l’emploi et les postes à plein temps.
Vous retrouverez ci-dessous les brochures et l’actualité du secteur.
Brochures et documentation
Vente et assistant-e en pharmacie, Quels sont vos droits 2017
Convention collective de travail 2013-2018
Pour connaître plus précisément ce qui s’applique à vos contrats de travail, vous pouvez contacter le SIT au 022 818 03 00, prendre rendez-vous avec un-e secrétaire syndical-e si vous êtes membre, ou passer lors des permanences organisées pour la vente tous les mardis et jeudis de 14h00 à 18h00, au 1er étage.
Face au vide conventionnel et à la sous-enchère persistante dans le secteur du commerce de détail, un nouveau Contrat-type de travail obligatoire est édicté.
NON à la révision de la LHOM
Ne soyons pas dupes, refusons l’ouverture des dimanches sans réelle protection des salarié-e-s !
Le SIT appelle à voter OUI à l’initiative « Touche pas à mes dimanches », et OUI au contre-projet qui impose une CCT dans le secteur du commerce de détail.
Pour éviter un referendum, le parlement a modifié l’ordonnance de la loi sur le travail pour généraliser l’ouverture dominicale des commerces en Suisse. Pour contrer ce déni de démocratie, les syndicats ont lancé l’initiative « Touche pas à mes dimanches ! »
Le Sit dénonce une entreprise de sous-traitance massive et irresponsable
Travailler dans une station-service est, par essence, un métier difficile, peu rémunéré, qui implique des horaires très irréguliers (très tôt le matin, tard le soir et le dimanche) et qui est exposé à la criminalité. Chez Valora, ces difficultés se doublent d’un management irresponsable qui, pour assurer plus de profit aux actionnaires, pressurise les employés et les met sciemment en danger.